Il y a 80 ans, alors que la France sort à peine de la Seconde Guerre mondiale, l’une des priorités est le déminage du pays. Des millions d’engins explosifs doivent être neutralisés. Pour mener à bien cette mission, le service du déminage utilise des volontaires mais également des prisonniers de guerre allemands.
Chaque jour ou presque, la presse de l’époque évoque cette menace invisible qui tue.
Utilisées de façon massive par tous les belligérants, des millions de mines sont enfouies dans le sol : des mines de l’armée française autour de la ligne Maginot, des mines allemandes près des côtes atlantiques et méditerranéennes et celles posées par les Alliés lors de leur avancée vers l’est.
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