Dire qu’en toute indifférence, tout cela se meurt !
Texte de Fernand DUPUY “L’Albine : scènes de la vie en Limousin et en Périgord vert
2 thoughts on “Des mots qui se meurent…”
Ne laissons pas mourir les mots:
Dès potron-minet, après avoir croustillé mais sans pignocher je quitte mon casement lorsque le temps s’est abeausi ou par un ciel concolore, pour descendre dans mon hort, aspirant à la bonace, véritable thébaïde.
Alors, ainsi à rémotis, par une tortille et sans me laisser défléchir par les caquetages et les coquetages de mes gélines, je musarde, éplapourdi , sans pour autant m’ébaubir, émerillonné par quelque fragrance.
Puis, après m’être forlongé et avoir pourpenser sur une pelle-à-cul, et presque alouvi, je reviens par un chemin salébreux sans perlustration, pour une raout où je pourrai gobelotter et faire gogaille in poculis.
Super ! Beauté et poésie des mots, Encore encore !
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Ne laissons pas mourir les mots:
Dès potron-minet, après avoir croustillé mais sans pignocher je quitte mon casement lorsque le temps s’est abeausi ou par un ciel concolore, pour descendre dans mon hort, aspirant à la bonace, véritable thébaïde.
Alors, ainsi à rémotis, par une tortille et sans me laisser défléchir par les caquetages et les coquetages de mes gélines, je musarde, éplapourdi , sans pour autant m’ébaubir, émerillonné par quelque fragrance.
Puis, après m’être forlongé et avoir pourpenser sur une pelle-à-cul, et presque alouvi, je reviens par un chemin salébreux sans perlustration, pour une raout où je pourrai gobelotter et faire gogaille in poculis.
Super ! Beauté et poésie des mots, Encore encore !