Moins d’agriculteurs mais plus de résidences secondaires et de sangliers !

« Ils quittent un à un le pays pour s’en aller gagner leur vie loin de la terre où ils sont nés », chantait Jean Ferrat.

Les paysans ne sont pas tous partis. Certains se sont accrochés à la terre dans une campagne ardéchoise dorénavant plus riche en résidences secondaires et en sangliers qu’en agriculteurs.

 

2 thoughts on “Moins d’agriculteurs mais plus de résidences secondaires et de sangliers !

  1. En quelques tableaux justes cet article dresse le panorama de l’agriculture et son évolution depuis le 20eme siècle et de son contexte tel que le décriront les livres scolaires ou d’historiens:
    force humaine de nombreuses mains, autarcie, façonnage des paysages; vulgarisation et orientation financière à travers divers organismes (gva, feaga, feoga, feader, pac, pdr….)exode rural, 1968, retour à la terre; tourisme, retour à la campagne mais avec les avantages de la ville, coexistence parfois difficile; productivité, pluriactivité, place des femmes, quotas, règlementations, faillites….
    L’agriculture est un sujet inépuisable d’étude.
    Je me rappelle, enfant, lorsque revenait l’été, la famille parente, fonctionnaires à la ville venait en vacances au village. et faisait le tour de la parentèle. Le jour de leur visite le repas était amélioré. Mais l’après-midi, tandis que je suais à tourner le foin, les cousins trouvaient qu’ils batifolaient…

  2. Excellent article et rappel émouvant d’une bien triste évolution de la vie terrienne … nous avons eu le plaisir et le travail à faire revivre le hameau de Fontbonne en Gîtes … mais nous avons participé à cette transformation de la campagne profonde … rien ne se perd , tout se transforme … Nozieres : nos plus belles années.

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