Ces derniers jours, l’actualité a été braquée sur le Vatican avec le décès du Pape et au fil des images transmises, on a pu apercevoir régulièrement des gardes suisses…
Qui sont-ils ?
3 thoughts on “Garde suisse – Suisse d’église”
En 1970, lors de mon service militaire à Hettange-Grande, village de Moselle, un garde suisse m’a fait découvrir cette tradition. Il était plutôt austère; silence et discipline régnaient quand il scandait avec sa canne les moments où il fallait s’asseoir, se mettre à genoux et se lever. Il frappait un ou deux coups suivant la position à prendre.
article sur les gardes suisses très intéressant
Dans leur livre publié en 1979, Le feu sous la cendre, le paysan vivarois et sa maison, Charles FOROT et Michel CARLAT décrivent ainsi une procession lors de la fête-Dieu: “Et la procession s’organisait. Suisse en tête. Il ne portait pas à la main une vulgaire lame de hache emmanchée à un bâton comme aux Vans en 1850, mais une véritable hallebarde qui sonnait à chaque pas sur les pavés de notre église. Il portait bicorne et vêtement rouge galonné d’or. Il veillait d’un oeil sévère à la formation toujours un peu hésitante de la procession.”
La description ensuite de la procession est tout à fait semblable à celle qui se déroulait à Nozières, où les enfants de choeur en robe rouge et surplis blanc, une petite corbeille de fleurs autour du coup, au son du claquoir, jetaient les fleurs sur la procession jusqu’au reposoir.
C’était dans les années 50/60.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services, d'outils d'analyse et l’affichage de publicités pertinentes. J'accepteEn savoir plus et agir sur les cookies
Privacy & Cookies Policy
Privacy Overview
This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. This category only includes cookies that ensures basic functionalities and security features of the website. These cookies do not store any personal information.
Any cookies that may not be particularly necessary for the website to function and is used specifically to collect user personal data via analytics, ads, other embedded contents are termed as non-necessary cookies. It is mandatory to procure user consent prior to running these cookies on your website.
En 1970, lors de mon service militaire à Hettange-Grande, village de Moselle, un garde suisse m’a fait découvrir cette tradition. Il était plutôt austère; silence et discipline régnaient quand il scandait avec sa canne les moments où il fallait s’asseoir, se mettre à genoux et se lever. Il frappait un ou deux coups suivant la position à prendre.
article sur les gardes suisses très intéressant
Dans leur livre publié en 1979, Le feu sous la cendre, le paysan vivarois et sa maison, Charles FOROT et Michel CARLAT décrivent ainsi une procession lors de la fête-Dieu: “Et la procession s’organisait. Suisse en tête. Il ne portait pas à la main une vulgaire lame de hache emmanchée à un bâton comme aux Vans en 1850, mais une véritable hallebarde qui sonnait à chaque pas sur les pavés de notre église. Il portait bicorne et vêtement rouge galonné d’or. Il veillait d’un oeil sévère à la formation toujours un peu hésitante de la procession.”
La description ensuite de la procession est tout à fait semblable à celle qui se déroulait à Nozières, où les enfants de choeur en robe rouge et surplis blanc, une petite corbeille de fleurs autour du coup, au son du claquoir, jetaient les fleurs sur la procession jusqu’au reposoir.
C’était dans les années 50/60.