Plus de 16 millions de personnes oeuvrent en France dans le paysage associatif. En Ardèche, le bénévolat est un secteur dynamique, 8 000 associations sont enregistrées, un ardéchois sur quatre est bénévole.
Une facette décrivant le bénévole, vraie mais partielle. D’ailleurs sur les plus de 30 associations à Nozières bien peu sont encore actives ou même juridiquement existantes.
Il n’en demeure pas moins qu’il est habituel de remercier les bénévoles, “sans qui rien ne serait possible” comme on l’entend lors des AG. Ces “petites mains” qui apportent leur temps, leurs compétences et leur passion pour améliorer la société contribuent à l’économie nationale: 20 millions de bénévoles, soit 38% de la population de plus de 15 ans, correspondent à 820000 emplois et pèsent une quinzaine de milliards d’euros.
Cependant aucune enquête n’est fiable car variant de 12 millions à 20 ou même 31 millions selon INSEE, France Bénévolat ou Le Paysage associatif français, selon que l’on considère le bénévolat formel ou les participations bénévoles ou bénévolat informel.
La définition de 1993 de la CESE ” est bénévole toute personne qui s’engage librement pour mener une action non salariée en direction d’autrui, en dehors de son temps professionnel et familial” est insuffisante. Le bénévole est aujourd’hui plus exigeant: il veut donner du sens à son engagement, il peut être occasionnel ou régulier. Il a besoin également d’être fidélisé, reconnu et respecté. C’est une forme de professionnalisation avec de la formation, de la reconnaissance, des mesures fiscales (reçu fiscal pour les frais engagés), assurance…
Lors de mon activité comme trésorier et directeur de l’Ardéchoise, chaque correspondant dans les villages devait fournir une “valorisation du bénévolat”: nombre de bénévoles et temps passé pour l’Ardéchoise. Cette valorisation représentait pour 9000 bénévoles 135000heures égalant le budget de l’Ardéchoise (2000000€). Pratique qui semble abandonnée aujourd’hui! Valorisation utile et nécessaire auprès des collectivités pour les subventions et auprès du fisc pour justifier la non lucrativité de l’Ardéchoise.
Respecter le bénévole; un seul accent aigu déplacé et on obtient benévolé (richesse de la langue française)!
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Une facette décrivant le bénévole, vraie mais partielle. D’ailleurs sur les plus de 30 associations à Nozières bien peu sont encore actives ou même juridiquement existantes.
Il n’en demeure pas moins qu’il est habituel de remercier les bénévoles, “sans qui rien ne serait possible” comme on l’entend lors des AG. Ces “petites mains” qui apportent leur temps, leurs compétences et leur passion pour améliorer la société contribuent à l’économie nationale: 20 millions de bénévoles, soit 38% de la population de plus de 15 ans, correspondent à 820000 emplois et pèsent une quinzaine de milliards d’euros.
Cependant aucune enquête n’est fiable car variant de 12 millions à 20 ou même 31 millions selon INSEE, France Bénévolat ou Le Paysage associatif français, selon que l’on considère le bénévolat formel ou les participations bénévoles ou bénévolat informel.
La définition de 1993 de la CESE ” est bénévole toute personne qui s’engage librement pour mener une action non salariée en direction d’autrui, en dehors de son temps professionnel et familial” est insuffisante. Le bénévole est aujourd’hui plus exigeant: il veut donner du sens à son engagement, il peut être occasionnel ou régulier. Il a besoin également d’être fidélisé, reconnu et respecté. C’est une forme de professionnalisation avec de la formation, de la reconnaissance, des mesures fiscales (reçu fiscal pour les frais engagés), assurance…
Lors de mon activité comme trésorier et directeur de l’Ardéchoise, chaque correspondant dans les villages devait fournir une “valorisation du bénévolat”: nombre de bénévoles et temps passé pour l’Ardéchoise. Cette valorisation représentait pour 9000 bénévoles 135000heures égalant le budget de l’Ardéchoise (2000000€). Pratique qui semble abandonnée aujourd’hui! Valorisation utile et nécessaire auprès des collectivités pour les subventions et auprès du fisc pour justifier la non lucrativité de l’Ardéchoise.
Respecter le bénévole; un seul accent aigu déplacé et on obtient benévolé (richesse de la langue française)!